Le négation d’un mécène Malgré l’enthousiasme ambiant, l’équipe de jolie voyance devra toujours combler un nouvel obstacle. La fondation philanthropique, à la suite avoir fêté un abrégé sur les mieux correspondances internationaux, se fait au pas de course plus réticente. Leur conséquent négociateur, M. Lefrançois, défiance de la immutabilité du modèle de jolie voyance gratuite. Il craint que la gratuité, conjointe à l’ampleur des demandes, ne conduise à un gouffre social. Lors d’une rencontre officielle, il questionne Marianne sur la viabilité à long terme d’un tel aperçu. Cette confrontation surprend et bouscule la directrice. Jusqu’ici, la fondation s’était montrée fervent, proposant même un soutien logistique et social. Or, M. Lefrançois émet aujourd'hui des joies sur la puissance du cabinet à bien préconiser un chambrée universel, d’autant plus que les consultations en ligne se ajoutent. Il évoque le besoin d’un “business plan” inusable, appuyant sur la dimension rentabilité. Pour lui, la philanthropie ne justifie pas tout : l’initiative devra toujours vous lancer le défi de s’auto-financer à bien début. Marianne, soutenue par Baptiste, défend l’idée que jolie voyance gratuite a déjà geste ses preuves localement. Les facultés volontaires, les séances payantes et les soutiens associatifs ont accords d’équilibrer les comptes tout en grossissant le affluence à bien celle qui en ont le plus objectif. Certes, l’internationalisation exige de la prudence, mais la loi d'attraction de s’adapter fait trait de l’ADN du cabinet. En guise de compromis, elle offre un schéma d’action par paliers, chaque étape collaborant conditionnée à bien un bilan financier course. Olivier, qui assiste à bien la dispute, se sent partagé entre la sanie et la résignation. D’un côté, il comprend la nécessité d’un démarcation fiable pour rassurer un investisseur. De l’autre, il redoute que l’esprit solidaire ne s’érode marqué par la pression du chiffre. Noémie, plus calme, invite M. Lefrançois à visiter le cabinet, à discuter avec les consultants et à bien constater l’impact physique de jolie voyance gratuite. Elle vise à qu’en voyant les têtes et en écoutant les commentaires, il comprendra la force de l'homme d’un tel plan. Au ligne de la rassemblement, M. Lefrançois accepte à bien contre-cœur de se déplacer. Quelques journées plus tard, il pousse la porte de jolie voyance, fêté par Camille. Il découvre à ce moment-là le fonctionnement au quotidien : la spectateurs d’attente où se côtoient des consommateurs payants et des bénéficiaires de la gratuité, les boxes de consultation ardent, l’atmosphère sereine qui règne en ces villes. Intrigué, il questionne les voyants sur leur science, s’étonne de l’aisance avec auquel ils jonglent entre l’empathie et la minutie éthique. Pour parachever la visite, Baptiste lui chemise le offre d’or où sont consignés les remerciements sans identités de multiples consultants. On y lit des fragments de vie, des récits de renaissances, des besoins ravivés. M. Lefrançois, d’abord sceptique, s'avère plus silencieux en parcourant ces témoignages. On perçoit chez lui une diversité d’émotion et de perplexité : il réalise que l’apport financier de jolie voyance gratuite dépasse sans soupçon les faciles examens financières. Avant de repartir, il confie à Marianne qu’il devra résoudre ces données et parfaire sa cran. Il ne donne l'assurance pas un complicité imminent, mais reconnaît que son interruption de départ était peut-être beaucoup réducteur. Le cabinet peut retrouver une atmosphère d’attente nerveuse. L’équipe sait que l’aval ou le refus de la fondation ne fera pas se réduire au minimum leur invention, mais un bienfait externe demeure précieux pour stimuler l’évolution mondiale. Olivier, notamment, se sent impatient, oscillant entre l’espoir d’une validation et la épouvante d’un revirement définitif. Dans les évènements qui accompagnent, chaque individu retourne voyance olivier à ses occupations. Les consultations s’enchaînent, les sourires et les larmes se succèdent. Jolie voyance gratuite poursuit sa mission, sans nous guider si le mécène, un vies récalcitrant, finira par y connaître la même idolâtrie que l’équipe chérit depuis longtemps. Un soir, Noémie déclare avec sagesse : “Nous ferons alors que nous possédons vivement fait : évoluer avec sentiment, quel que soit l’avis de l’extérieur. Si notre image est immédiate, les siècles finira par le dévoiler. ”